Par quoi passe l’analyste qui travaille avec celles et ceux qui fuient la guerre ou les rescapés qui ont vu et vécu l’insoutenable ?

La guerre civile, vers laquelle a rapidement évolué le soulèvement en Syrie né dans le sillage du "Printemps arabe", a contribué au développement et à l’ancrage de Daesh. La cruauté d’une guerre devenant de plus en plus complexe a provoqué la fuite des humains. Par quoi passe l’analyste qui travaille avec celles et ceux qui fuient la guerre ou les rescapés qui ont vu et vécu l’insoutenable ? Comment travailler en temps de guerre ? Et peut-on garder une neutralité ?