Jeune Française n’ayant jamais voyagé, Maïa arrive pleine de naïveté dans un monde aux règles incompréhensibles, à la discipline quasi militaire, où personne ne parle anglais. Elle vient apprendre le taïko dans l’école la plus secrète de Tokyo. Aux entraînements succèdent incompréhension chronique, fatigue extrême, typhons, tremblements de terre et fantômes.
L’héroïne nous révèle une facette méconnue du Japon à travers cet art du tambour traditionnel japonais et nous emmène vers cette frontière flottante où la réalité et le rêve se chevauchent.
Roman initiatique teinté d’humour et d’une étrange poésie, Le ballet des retardataires est une partition-hommage à ce tambour si méconnu en Europe.