On retrouve à nouveau le coup de crayon délicat et l'utilisation subtile de la couleur de Sybille Delacroix. Une magnifique œuvre d'art au service d'une histoire riche en émotions.
Élise est grande, très grande. Trop grande pour jouer à la poupée. Tellement grande qu’elle a souvent la tête dans les nuages. Elle voudrait bien qu’on s’aperçoive qu’elle est encore petite.