Quoi de commun entre les panda kissers (les zélateurs de la politique chinoise), la "Poutine mania", les "réseaux" turcs ou qataris, la K-pop (musique pop coréenne), les fondations allemandes, les Instituts Confucius ou les programmes d’invitation "Young leaders" aux États-Unis ? Dans tous les cas, il s’agit d’afficher, de séduire, de convaincre, de trouver des relais, dans une stratégie d’État plus globale qui vise à conquérir les esprits.
L’influence mobilise des ressources croissantes de la part des États. Elle leur permet de modifier le rapport de force mondial, de contrôler des pays tiers ou d’y prospérer sans entrave.