La thèse de cet ouvrage est qu’il faut prendre soin du monde et qu’une "anthropologie relationnelle" permet de penser ce soin, tant en médecine que dans le monde du travail et vis-à-vis de l’environnement. L’exigence du soin, se faisant catégorie critique, permet de relier des domaines souvent envisagés comme distincts où, à rebours de l’exploitation générale du monde, elle invite à porter attention aux relations humaines et aux différentes formes de vulnérabilité.