L’orientation des pratiques techniques à l’égard des patients apparaît comme le fruit d’un véritable travail visant à personnaliser (ou non) les soins : attitude générale, disponibilité, manière de mener l’examen, d’interroger et d’écouter, de répondre et expliquer (ou non), d’organiser les décisions, de prescrire certains traitements, de mettre en œuvre les gestes sur le corps, etc.
Bien différentes d’un supplément d’âme, elles permettent de réaliser l’équilibre qui caractérise l’activité soignante entre objectivation, activisme et compassion.