35 ans après sa publication, La Fièvre d’Urbicande se voit mis en couleur par le graphiste et affichiste Jack Durieux. Un prolongement contemporain de l’univers kaléidoscopique de Schuiten et Peeters ! L’urbatecte Eugen Robick est insatisfait. La Commission des Hautes Instances, qui gouverne Urbicande, refuse l’aménagement d’un pont qui, selon Robick, rétablirait un équilibre urbain menacé. C’est dans ce contexte qu’un étrange objet fait son apparition sur le bureau de Robick : une structure cubique évidée d’origine inconnue, faite d’un métal indestructible, qui commence lentement à croître…